ENQUÊTE
Treize ans après sa création et plus de cent millions d’euros d’investissements publics et privés, BIOASTER, le seul IRT français dédié à la microbiologie et aux maladies infectieuses, censé incarner la France de l’innovation en santé, a fermé définitivement ses portes à Lyon vendredi dernier. Marché trop étroit, effet d’entraînement limité des industriels, résistance structurelle des forces académiques, changement de doctrine de l’État ont alimenté la chronique d’une disparition annoncée pour BIOASTER et nourri celle d’une formule plus en phase avec les besoins des uns et des autres à travers le Biocluster, Infectious Diseases Cluster (1).
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