(Espagne/CDMO/Vecteurs lentiviraux) – VIVEbiotech décroche un investissement en capital de croissance de la part d’Ampersand Capital Partners. Le montant n’est pas divulgué, mais il servira à l’expansion des capacités de fabrication de vecteurs lentiviraux de VIVEbiotech à San Sebastian et soutiendra l’exécution d’un portefeuille de projets destinés aux innovateurs développant des thérapies géniques et cellulaires, in vivo et ex vivo. L’investisseur Ampersand Capital Partners, basé à Boston (États-Unis) et Amsterdam (Pays-Bas), axé sur le secteur de la santé, dispose de 3 milliards de dollars d’actifs sous gestion.
(Sophia-Antipolis/Biotech/Ophtalmologie) – Nicox (ALCOX) lance ZERVIATE en Chine avec son partenaire exclusif depuis 2018, Ocumension Therapeutics. Approuvé en septembre 2024, ce collyre antihistaminique à base de cétirizine est déjà commercialisé aux États-Unis par Harrow pour traiter le prurit oculaire lié aux conjonctivites allergiques. En Chine, le produit répond à un besoin médical pour les jeunes enfants, améliorant leur accès à des traitements adaptés. Ocumension poursuit également le développement de NCX 470 et pourrait verser à Nicox jusqu’à 17,2 millions de dollars de paiements liés aux ventes, ainsi que des redevances de 5 % à 9 %.
(Danemark/Biotech/Obésité) – Antag Therapeutics boucle une série A de 80 M€ pilotée par Versant Ventures, avec la participation de Novo Holdings, SR One, Dawn Biopharma, Pictet, Longview Ventures et Export and Investment Fund of Denmark. Les fonds serviront au développement clinique de l’AT-7687, un nouvel antagoniste sous-cutané du récepteur polypeptidique insulinotrope dépendant du glucose (GIPR), administré une fois par semaine. Le développement de la molécule phare d’Antag repose sur l’identification d’un antagoniste endogène du GIPR par les professeurs Jens Holst de l’Université de Copenhague, célèbre pour sa découverte du GLP-1, et Mette Rosenkilde. Tous deux ont cofondé Antag et apportent une vaste expertise en biologie des incrétines couvrant des décennies.
(Allemagne/Biotech/Glioblastome) – TME Pharma (ALTME) est en piste pour un financement garanti de 2,6 M€ via une offre publique de 52 millions d’actions nouvelles. Cette levée vise à soutenir les activités jusqu’en juin 2025, notamment le développement des candidats NOX-A12 dans le cancer du cerveau et NOX-E36. Les actionnaires prioritaires pourront souscrire entre le 12 et le 18 décembre au prix attractif de 0,05 €/action. Les actions non souscrites seront garanties par des investisseurs existants, permettant à TME Pharma de financer des transactions stratégiques ou des partenariats.
(Belgique/Medtech/Tests de stérilité) – miDiagnostics clôture un tour de financement de série D de 30 M€, mené par Thermo Fisher Scientific (TMO), suivi par Alychlo, VMF Invest et Pamica. Cet investissement accélérera le développement d’un test de stérilité, la libération des lots et les tests de contrôle qualité associés pour l’industrie biopharmaceutique, en utilisant la technologie qPCR exclusive de miDiagnostics.
(Allemagne/Biotech/Maladies liées à l’âge) – Refoxy Pharmaceuticals boucle un amorçage de 9,1 M€ mené par Boehringer Ingelheim Venture Fund (BIVF), suivi par Apollo Health Ventures, NRW.Venture et High-Tech Gründerfonds, pour faire progresser le développement de nouveaux médicaments thérapeutiques dans diverses indications, à commencer par la fibrose pulmonaire idiopathique (FPI). Cette maladie pulmonaire interstitielle chronique liée à l’âge, caractérisée par une mortalité élevée et des options de traitement limitées, touche environ trois millions de personnes dans le monde. Refoxy adopte une nouvelle approche pour s’attaquer à la biologie complexe de la FPI en modulant un facteur de transcription (l’activation de FOXO3), capable d’orchestrer des changements à plusieurs niveaux biologiques, avec le potentiel d’interférer avec la progression de la maladie.
(États-Unis/Biotech/Oncologie) – Rgenta Therapeutics signe un accord de recherche stratégique pluriannuel et multicible avec GSK pour faire progresser la découverte et le développement de nouveaux modulateurs d’épissage à petites molécules ciblant l’ARN pour de nombreux domaines thérapeutiques, dont l’oncologie. Selon les termes de l’accord, Rgenta recevra jusqu’à 46 M$ en paiements initiaux et jusqu’à près de 500 M$ par cible en paiements d’étape liés à l’exercice d’options. GSK a également la possibilité d’élargir l’alliance pour inclure des cibles supplémentaires.
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